Suite au terrible gel de 1956, ce domaine familial initialement conduit en polyculture décide de tout replanter en vignes. En 1964, une cave est érigée sur les ruines d’une ancienne chapelle du XIIe s. dédiée à Saint-Martin. Précurseur de la culture bio, Guy Jullien initiera la conversion bio du vignoble en 1995. Depuis 2006, Thomas, son fils exploite 20 ha et poursuit en cave un travail toujours plus tourné vers la bio, par la suppression de tous les intrants œnologiques.